Dans la nature, il y a des accidents de parcours : des maladies dégénératives, des maladies génétiques, toutes sortes d’incompatibilités entre les gènes des hommes et des femmes, de chromosomes etc, etc, etc… et enfin pour le sujet relevé dans la presse, des erreurs de genres comme la personne née homme, qui se sent au fond d’elle femme à part entière ou inversement.
La médecine qui se doit d’être au cœur de l’humain a fait des avancées considérables et se perfectionne au fil du temps pour tâcher de réparer les imperfections, les accidents de genres, les problèmes biologiques, pathologiques et Dieu sait s'ils sont nombreux.
On est loin de tout savoir....
Il est donc tout à fait normal qu’un être qui ne sent pas en osmose avec le corps qui lui est imposé tente de réparer l’erreur dont il est victime. On se doit de l'aider à franchir les étapes de la transformation pour sa renaissance.
Il n’y a donc aucun inconvénient à ce qu’un prêtre marie deux êtres qui s’aiment, dont un dans ce cas s’est réapproprié sa vraie identité, c’est un acte d’humanité, d'intelligence, un acte de foi, qu’a pratiqué le père Alessandro Santoro à Piagge dans la banlieue de Florence.
Dans son geste d’amour il a marché dans les pas du Christ et le désir de Dieu que les humains se perfectionnent.
Que celui qui peut comprendre, comprenne.
29 octobre 2009 - Visiblement ce n'est pas le cas de l’archevêque de la capitale toscane, Mgr Giuseppe Betori qui châtie et par là s'éloigne de l'amour du prochain.
Pour certain l'amour du prochain se conjugue avec aimer ses semblables, ceux qui sont comme lui. Ce comportement égotiste est très fréquent pour ne pas dire séculier. C'est ce comportement là qui est déviant, il fait beaucoup de mal aux enfants de Dieu.